CERDP - Planning des (...)

CERDP - Planning des Conférences d’ouverture 2ème semestre 2017/2018

Le CERDP et l’ensemble des Enseignants-Chercheurs poursuivent en 2018 leur cycle de conférences d’ouverture ACCÈS LIBRE A TOUT PUBLIC !Retour ligne automatique
Ces conférences sont ouvertes à tout public et auront lieu le premier et troisième jeudi de chaque mois, à partir de 17h00 de la Faculté de Droit et Science Politique de Nice.

Conférence d’ouverture

- 18.01.18, Sophie Chas, avocate au Barreau de Nice :

Médecin délinquant ou de l’opportunité de poursuivre les médecins au titre du délit d’homicide involontaire

- 1.02.18, Joana Genovese, docteur en droit, et Caitline Kaigl, doctorante :

La quérulence à la française

- 08.02.18,

Le droit animalier

- 15.02.18, Gervais Gobillot, avocat au Barreau de Grasse :

Le consentement dans les relations hommes/femmes en droit civil et en droit pénal : une condition juridique essentielle (mariage, divorce, relations sexuelles…).
Résumé : L’action de consentir nous permet de nous pacser, de nous marier, de divorcer, voire d’autoriser notre mise à mort...mais l’absence de consentement caractérise les infractions de harcèlement sexuel, d’agression sexuelle ou de viol...
Et la prostitution n’est pas en tant que telle illégale.
Le consentement serait-il donc l’antidote, ou bien au contraire le signe, des rapports de domination ? "

- 15.03.18, Alexandre-Guillaume Tollinchi :

Docteur en Droit
Avocat à la Cour (Barreaux de Nice et de Rome)
Enseignant à la Faculté de Droit de Nice
Lieutenant de Vaisseau (R) de la Marine Nationale
L’énième nouvelle procédure d’appel.
Résumé  : La suppression malheureuse de la profession d’Avoué, dont les membres sont devenus pour nombre d’entre eux des Avocats spécialistes de la procédure d’appel et reconnus comme tels par le CNB, avait été précédée d’une réforme remarquée de la procédure civile devant la Cour d’appel (décrets Magendie en 2009). Loin du discours politique annonçant sans cesse des simplifications législatives et réglementaires, les modifications intervenues depuis 2011, et encore plus récemment à l’occasion du décret n°2017-891 du 6 mai 2017, ont eu pour effet de complexifier la matière et d’augmenter le risque d’engagement de la responsabilité professionnelle des Avocats... sans pour autant que les Avocats ne reçoivent une formation suffisante en la matière à ce jour.

- 23.03.18, Hania Kassoul, docteur en droit

Le contrat relationnel

- 19.04.18, Vanessa Kalboussi, notaire

Eclairages en vue de la constitution de SCI

- 17.05.18, Delphine LANZARA :

La philosophie du droit est-elle toujours utile aujourd’hui ?

- 31.05.18, Diane Boustani, maître de conférences faculté de droit de Nice

Sujet à déterminer

- 7.06.18, Ugo Bellagamba et Yannick Rumpala :

Ugo et Yannick, conférenciers aux « lunettes en verre-miroir »
La science-fiction avait-elle anticipé notre devenir cybernétique ? Regards juridiques et politiques sur l’imaginaire cyberpunk (1982-1996)

Réseaux numériques, nouveaux modes de communication et d’information, technologies de surveillance, gestion cybernétique des processus sociaux : autant d’enjeux qui pourraient paraître neufs ou récents. En fait, pas tant que ça s’ils sont regardés à l’aune de l’imaginaire de la science-fiction. En croisant les regards du juriste et du politiste, il s’agira de montrer comment ces séries d’enjeux, dont les résonances commencent à se faire sentir, ont déjà pu trouver des représentations, des formulations, voire des esquisses de solutions, dans les récits futuristes d’un mouvement d’auteurs, les Cyberpunks, qui a eu un impact important dans les deux dernières décennies du XXème siècle à travers des œuvres connues, littéraires ou cinématographiques (Blade Runner, Neuromancien) ou plus confidentielles. Un décalage utile pour interroger différemment les possibilités du droit augmenté, un sujet d’étude d’actualité, s’il en est.

- 21.06.18 Cédric PORTERON, Avocat au Barreau de Nice, Enseignant associé à la faculté de Droit et Science Politique de Nice

Faut-il créer un droit à l’instruction préparatoire pour le suspect ?

L’évolution de la procédure pénale a entrainé un renforcement constant des droits accordés à la personne mise en examen. Pour autant, ce statut reste, pour la plupart du temps, soumis à l’appréciation du magistrat instructeur qui décide du moment où il met en examen. Par ailleurs, l’ouverture d’une instruction reste soumise à la décision du parquet ou de la partie civile, alors que la personne suspectée, même placée en garde à vue, ne dispose pas de la possibilité d’en déclencher l’ouverture avant un procès. Dès lors, la création d’un droit à l’intruction, soumis à certaines conditions, pourrait permettre de rétablir cet équilibre rompu entre les parties et redonner une certaine cohérence à notre procédure).

PROGRAMME À TÉLÉCHARGER ICI

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