Un Jour, Un métier à Nice : Des collégiens du quartier des Moulins découvrent les métiers de KONE France


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11 juin 2012

Quatorze élèves de 3e du collège Frédéric Mistral se sont rendus hier matin avec leurs professeurs dans les locaux de l’entreprise KONE. L’objectif de leur visite ? Découvrir les métiers exercés par les salariés de KONE et mieux comprendre le fonctionnement d’une entreprise.

Les collégiens connaissaient bien les ascenseurs dans leur immeuble. Jeudi dernier, ils ont pu franchir les portes du siège social de l’ascensoriste KONE basé à quelques centaines de mètres de chez eux, une frontière qu’ils n’avaient jusqu’à présent pas franchie…

Organisée par l’IMS PACA, en partenariat avec l’Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine et le Rectorat de Nice, cette rencontre a été préparée durant plusieurs semaines en amont avec les enseignants, sur le modèle de l’entraînement à un entretien d’embauche : recherches sur l’entreprise, préparation d’une présentation du collège, élaboration du CV de chaque élève, mais aussi conception d’un questionnaire pour interviewer les salariés sur leur métier et leur entreprise.

Dès leur arrivée dans l’entreprise, les collégiens ont su comment se présenter et posaient des questions précises aux salariés : « Dans quel pays travaillez-vous le plus ? Quel type de formation doit-on faire pour entrer chez KONE ? ». Après un temps d’échanges collectifs, les collégiens sont partis en sous-groupes à la rencontre des salariés de l’entreprise : visite des techniciens et ingénieurs du bureau d’études, découverte des matériaux de modernisation des ascenseurs, des outils de programmation assistée par ordinateur, visite du centre d’appels, découverte de l’importance de la relation clients...

Les messages clés que les salariés ont apportés aux collégiens ? L’importance du savoir-être en entreprise et l’importance de « savoir ce que l’on a envie de faire ».

Leur regret ?
« En France, les médias ne communiquent pas assez sur les métiers techniques. Les métiers techniques sont dévalorisés ; c’est pour cela que nous sommes souvent en pénurie de main d’oeuvre ».


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