L'essentiel de l'actualit

L’essentiel de l’actualité de ce mercredi 4 octobre

Tempête Alex : l’hommage de Macron

« Nous n’oublions ni les victimes, ni le choc des habitants. Encore moins l’élan de solidarité de femmes et d’hommes qui se sont mobilisés pour sauver des vies et aider ». Trois ans après la catastrophe, le président Emmanuel Macron a rendu hommage hier sur son compte X aux victimes et aux héros de la tempête Alex. «  Il nous reste encore à faire pour redonner toute leur vie et leur beauté aux villages touchés, mais on avance. C’est une fierté de lire les mots du maire de Breil-sur-Roya qui annonce que son village compte plus d’habitants aujourd’hui qu’à la veille du désastre » souligne notamment le président de la République.

Violences conjugales : magistrat condamné

Cinq mois de prison avec sursis et 10 000 euros de dommages et intérêts : l’ancien vice-procureur de Nîmes a été condamné hier par le tribunal judiciaire de Lyon pour des violences exercées sur son ex-compagne. Le jugement avait été mis en délibéré le 11 septembre. Son avocat a annoncé son intention de faire appel du jugement. La magistrat avait déjà eu l’occasion de requérir es-qualité pour des affaires de violences conjugales. Il devra suivre un stage de sensibilisation.

Augmentation contestée de la taxe de séjour

Alors que se profilent les Jeux Olympiques de Paris, les professionnels de l’hôtellerie d’Île de France contestent la taxe additionnelle à la taxe de séjour qui sera mise en place le 1er janvier prochain. Une taxe destinée aux transports en commun qui risque, selon les hôteliers, de pénaliser leur compétitivité. « Si cette annonce devait se concrétiser dans le projet de loi de finances 2024, Paris deviendrait de loin la capitale la plus lourdement taxée en Europe devant Rome, Bruxelles, Berlin, Athènes, Madrid et Londres » écrivent l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) et le Groupement national des chaînes hôtelières (GNC).

Une directive qui fait du bruit

Pour aider les citoyens et les entreprises de l’Union à pleinement profiter de leurs droits, la Commission européenne est en dialogue avec les États membres dont elle estime qu’ils ne respectent pas le droit européen. Au besoin, elle ouvre des procédures d’infraction à leur égard. Dans ce cadre, la France se fait tirer les oreilles : elle a reçu un avis motivé au motif de la non-adoption de plans d’action contre le bruit pour les villes et les grands axes routiers et doit se conformer aux règles européennes. Une vingtaine de plans d’actions font toujours défaut pour les agglomérations et 67 pour les grands axes routiers. La France dispose à présent d’un délai de deux mois pour y répondre et prendre les mesures nécessaires.

Visuel de Une : La France doit faire des efforts pour lutter contre le bruit et se mettre en conformité avec le droit européen Illustration DR

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